Cette technique semble peu utilisée, pourquoi ?

Elle repose sur l’utilisation d’une « chèvre »

La chèvre serait par exemple un portique assez haut (deux montants croisés et boulonnés en haut), avec un palan dessous pour faciliter les manœuvres, et un taquet pour bloquer le mât en position suspendu, quand il y aura besoin de reprendre un point de tire ou de bascule sur le mât .

Le mât peut facilement être soulevé et basculé en avant. S’il est suspendu au bon endroit du mât, le pied de celui-ci viendrait se positionner juste à la verticale de son support. En le faisant un peu descendre, il serait en place.

Cette manœuvre peut se faire avec les haubans en place, déjà réglés du démâtage d’avant ….

Le mât d’un Menhir ne pesant pas trop lourd, le mâtage-démâtage doit pouvoir se faire sans gros matériel, sauf si le moindre effort est impératif …

Remarques de David L. Les bouts qui retiennent la chèvre devant et derrière doivent être fixés au plus haut de la chèvre. Faut un bout glissant qui viens reposer sous les barres de flèches pour pouvoir l’enlever facilement, voir mettre un bout pour le tirer, surtout si y a un palan a plusieurs poulies. La chèvre en place doit être plus haute que les barres de flèches, sinon ça coince (si vous avez un mât de Menhir avec des barres de flèche)

Remarque de Sebast: : Ne pas confondre une chèvre de levage avec une chèvre d’élevage


Voir encore une autre manière de mâter-démâter avec Sebast, en utilisant un second mât :
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